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J'y crois,j'y crois pas

Tout le monde a tendance à croire un peu à tous ces présages de malheur que l’on rencontre à longueur de journée. Mais d’où viennent toutes ces superstitions qui nous pourrissent la vie ?
Voici quelques explications :

Croiser un chat noir : au Moyen-âge, le chat noir était le compagnon des sorcières et du diable. Il était donc capable d’apporter le malheur. C’était un peu comme rencontrer le diable lui-même !

13 porte malheur : à son dernier repas le Christ et les apôtres étaient 13 à table et c’est ce jour-là que Jésus a été trahi et mis à mort ensuite. Autre origine : A Babylone, dans l’antiquité, certaines cérémonies réunissaient 13 personnes en l’honneur des dieux. La 13ème était sacrifiée à la fin… 13 est donc signe de malchance et plus encore, annonce de mort si on est 13 à table !

Toucher du bois : Dans l’ancien Iran, les gens pensaient que le dieu Atar, génie du feu qui protégeait des maléfices, vivait dans les veines du bois. En touchant du bois, ils croyaient pouvoir écarter le mauvais sort.

Croiser les doigts : C’est se protéger des mauvais sorts et de la malchance car tout ce qui est croisé a un rapport avec la croix du Christ qui est sensée être plus puissante que tous les maléfices.
Jeter du sel par-dessus son épaule : Le pouvoir maléfique gâte, pourrit tout ce qu’il touche. A l’inverse, le sel est le conservateur de toutes choses (surtout autrefois, quand il n’y avait pas de réfrigérateurs ! ) Le sel empêche donc le sort de faire son effet destructeur. Autrefois, on mettait du sel aux quatre coins de la maison.

Briser un miroir : Le miroir était autrefois considéré comme le refuge des esprits. Briser le miroir, c’était les libérer.


09/02/2007
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